Le gratuit basé sur l'évolution des besoins
C'est une promesse qui permet à la majorité de bénéficier d'un véritable gratuit. 60% des utilisateurs n'achètent jamais rien. Une minorité fera l'acquisition de produits complémentaires lorsque le besoin apparaitra. Ce modèle est utilisé par des éditeurs connus d'anti-virus gratuits ou par des solutions bureautiques en ligne limitées en nombre d'utilisateurs. C'est le modèle d'Oxygène.
Le gratuit limité dans le temps
De nombreuses offres permettent de bénéficier de la gratuité, mais limitées dans le temps. C'est l'exemple de nombreux anti-virus ou de sociétés d'hébergement de sites Internet. Cette durée peut être de 1 mois, 3 mois ou 1 an, mais au final, la gratuité s'arrête et on revient sur un modèle payant, parfois très cher. Cela n'est pas le modèle d'Oxygène.
Le gratuit limité en volume
Autre méthode pour faire payer les utilisateurs de gratuit : limiter le volume des bases de données ou des transactions. Ce modèle peut sembler légitime, mais il doit être clairement énoncé. On trouve ce type de modèle dans des offres d'applications Web. Cela n'est pas notre modèle.
Le gratuit payé par la publicité
C'est le modèle classique des journaux gratuits ou de sites Internet. Le consommateur paie d'une certaine manière la gratuité du produit ou du service en consommant de la publicité sollicitée ou non. Cela n'est pas non-plus le modèle d'Oxygène.
Le gratuit par des offres conjointes
Un grand classique des offres des opérateurs téléphoniques, mais pas seulement. Mon produit est gratuit, mais au final il est payé par un autre service qui aurait coûté moins cher sans cette offre. Cela n'est pas le modèle d'Oxygène.